Pour Laurence Laigo (CFDT), les accords GPEC doivent s'accompagner d'une « visibilité sur la manière dont les salariés participent à l'évolution de l'entreprise »

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Par - Le 06 avril 2009.

« La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) n'est pas vécue de manière uniforme par les organisations syndicales », a prévenu Laurence Laigo, secrétaire nationale CFDT et négociatrice GPEC, lors de la 17ème édition du Congrès HR (Paris, mercredi 1er avril 2009). « La question a parfois pris un visage un peu négatif parce qu'il est arrivé trop souvent que des entreprises signent des accords pour annoncer trois mois après un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) », a-t-elle expliqué tout en précisant que son organisation était favorable aux logiques de GPEC. A la condition toutefois qu'il ressorte…

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