Dirigeante de son agence de publicité, elle part quatre mois à Londres

Par - Le 15 juin 2010.

L'exemple de Caroline Baude-Truffaut, publicitaire à Bordeaux, montre qu'une mobilité est toujours possible, même si la situation ne semble pas rentrer “dans les cases". Par exemple en étant dirigeante de TPE. Cette publicitaire travaillant régulièrement sur des campagnes internationales dans le domaine du vin était souvent “confrontée à une barrière culturelle". Après avoir eu vent du programme Leonardo, l'envie de voir “comment ça se passe ailleurs" l'a poussée à contacter l'Agence 2E2F. Après une visite préparatoire pour trouver l'entreprise qui pouvait l'accueillir, elle est partie treize semaines à Londres au sein de l'agence de publicité d'EHS Brann. “J'avais décidé de partir treize semaines et mon dossier a été validé."

Caroline Baude-Truffaut a reçu 2 795 euros pour sa mobilité, et 500 euros de bourse de langue. Elle a “beaucoup mis de (sa) poche" mais est “ravie". Cette mobilité lui a “permis d'apprendre de nouvelles règles de création, de maîtriser mieux la langue, d'apporter ma vision de créative française dans une entreprise londonienne." Si c'était à refaire, Caroline Baude-Truffaut n'hésiterait pas une seconde.

[(Les réseaux européens consacrés à la mobilité :

Euroguidance : dédié à l'information sur l'orientation et la mobilité européenne.

Eures : dédié à la mobilité dans l'emploi dont les 90 correspondants français sont joignables à Pôle emploi

[Eurodesk->www.eurodesk.org/edesk/Contact.do?go=fr
] une information plus globale sur la mobilité des jeunes)]