"En matière de reconnaissance au travail, la culture d'entreprise a bien plus d'impact sur les individus que la culture géographique" (Christophe Laval, colloque du Garf)

« Aux Etats-Unis, si 90 % des entreprises sondées indiquent mettre en place une procédure de reconnaissance, 60 % de leurs collaborateurs estiment ne pas être reconnus ! Quant à la reconnaissance proprement dite, 70 % des salariés français estiment qu'elle doit se manifester par des primes ou des bonus en termes financiers alors que seulement 50 % des salariés américains pensent la même chose ». Ce sont les résultats d'une étude comparative USA/ Canada / France, réalisée par Christophe Laval, auteur notamment de Plaidoyer pour la reconnaissance au travail, lors du colloque "Globalisation et développement des compétences", organisé par le Garf.

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Par - Le 03 décembre 2010.

« Mon expérience de DRH m’a montré que la reconnaissance, sur le plan humain, était un signe de performance durable des entreprises et ce, de manière universelle, qu’importe la culture géographique ». Ancien Directeur des ressources humaines de plusieurs sociétés internationales (Yoplait, Schlumberger, Compass Group, etc.) Christophe Laval, Président du cabinet de conseil VPHR (Vision Performance Humain Reconnaissance)[[http://www.reconnaissanceautravail.com/]], a eu l’occasion de constater les effets de la reconnaissance manifestée par les managers sur la qualité du travail des collaborateurs des entreprises sur plusieurs continents. Auteur de Plaidoyer pour la reconnaissance au travail, ce spécialiste de la "professional recognition" et, par…

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