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La loi de 2018 a fait de l'apprenti un salarié « presque comme les autres »

La réforme de 2018 a libéralisé et « déscolarisé » l'apprentissage, permettant aussi aux entreprises de créer leur propre offre de formation.  

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Par - Le 15 novembre 2024.

Pour Pierre Cahuc, professeur à Sciences Po et directeur de la chaire Sécurisation des parcours professionnels trois points sont déterminants quant à la réussite de l’apprentissage : le coût du travail, la réglementation du contrat de travail et la déconnexion entre l’offre de formation et la demande de l’entreprise. Le chercheur s’exprimait lors du séminaire Politiques de l’emploi sur « L’essor de l’apprentissage : quel bilan et quelles perspectives ? » organisé mardi 12 novembre au ministère de l’économie. Ces trois points contribuent à « l’essentiel des difficultés d’insertion », qui concernent surtout « les moins qualifiés ». Trois catégories En comparant avec d’autres pays, Pierre Cahuc a fait…

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