La négociation de la GPEC nécessite de l'apprentissage

Bientôt le 20 janvier 2008. Les entreprises et groupes de plus de 300 salariés [[4500 entreprises et 3000 groupes d'au moins 300 salariés, soit 49% des salariés hors administrations]] ont jusqu'à cette date pour ouvrir la négociation triennale sur la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) introduite par la loi de cohésion sociale du 18 janvier 2005. Une négociation qui doit d'abord porter sur la stratégie de l'entreprise et ses effets sur la situation de l'emploi.

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Par - Le 07 janvier 2008.

Henri Rouilleault, administrateur Insee et auteur du rapport « Anticiper et concerter les mutations, Rapport sur l’obligation triennale de négocier » [[Lire le rapport Anticiper et concerter les mutations, Rapport sur l’obligation triennale de négocier ]] remis à Christine Lagarde, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Emploi et Xavier Bertrand, ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité fin juillet 2007 (voir notre article) a pointé les différentes notions qui se cachent derrière le mot stratégie devant les membres de Territoire et Dialogue social (Tedis) le 4 janvier. « Une de mes hypothèses » a-t-il prévenu «…

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