Pour la CGT, le rapport Ferracci traduit « le désir du gouvernement de récupérer une partie de l'argent de la formation professionnelle »

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Par - Le 10 juillet 2008.

Le rapport Ferracci « est traversé par une tension entre le désir de l’Etat et singulièrement du gouvernement de récupérer une partie de l’argent de la formation professionnelle pour le mettre au service de sa politique dite de l’emploi et l’analyse des besoins de formation nécessaires aux salariés et à l’activité économique du pays que personne ne peut nier ». Dixit Thierry Lepaon, chef de file de la délégation CGT au groupe multipartite sur la réforme de la formation professionnelle, lors d’une conférence de presse organisée mercredi 9 juillet au siège de la confédération à Montreuil. « Nous partageons les…

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