« La GPEC, on la croit neuve parce qu'elle change de nom » Bernard Galambaud, professeur émérite ESCP Europe

Introduite par la loi du 18 janvier 2005 dite « Borloo », la notion de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) aurait à peine cinq ans, si l’on se réfère à l’obligation pour les entreprises de plus de 300 salariés de signer un accord GPEC. En réalité, « on la croit neuve parce qu’elle change de nom », a déclaré Bernard Galambaud, professeur émérite ESCP Europe, lors d’un colloque organisé par l’observatoire des métiers et des industries agro-alimentaire (Observia) (voir notre article dans cette édition). « Dans les années 50, il y avait déjà des textes sur la…