Lorsqu’on est au chômage, mieux vaut résider dans une capitale régionale ou/et dans un bassin d’emploi frontalier d’un pays européen que dans une zone rurale ou/et un territoire stigmatisé par les employeurs. C’est ce qui ressort d’une étude de la Dares [[Les disparités locales de sorties de listes de l’ANPE : l’apport de 22 études régionales. Première synthèses information. Dares. Septembre 2009.]], qui a analysé les sorties de listes de l’ANPE dans les vingt-deux régions françaises. La proximité avec un pays frontalier a une influence favorable sur les chances de sortir rapidement des listes de l’ANPE, note l’étude. Ainsi, la…