«Pour des raisons liées à des restructurations économiques, la branche du textile qui a connu la mondialisation avant d’autres secteurs, a dû exercer de manière empirique tout le registre de la mobilité», explique Philippe Dole, inspecteur de l'Igas (inspection générale des affaires sociales). Invité à titre d’expert par le Forthac, l’Opca du textile, à s’exprimer sur les mobilités professionnelles, il rappelle que la place de l’Opca est « d’être un délégataire d’intérêt général ». Ainsi, les partenaires sociaux des branches sont «les plus à même pour exprimer les enjeux majeurs de leur secteur, mais la coopération est nécessaire entre les…