La semi-liberté engendre des difficultés de réinsertion professionnelle, selon le contrôleur général des lieux de privation de liberté

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Par - Le 26 octobre 2012.

La semi-liberté rend difficile l'accès à l'emploi ou à la formation : c'est que ce que constate Jean-Marie Delarue, contrôleur général des lieux de privation de libertés dans un avis publié au journal officiel du 23 octobre. Il affirme en effet que « l'accès au travail ou à une formation, et a fortiori à un emploi lorsqu'il s'agit d'en trouver un, est rendu difficile ». Bien qu' « utile », cette modalité d'exécution de la peine ne favorise pas l'insertion ou la réinsertion professionnelle. Selon lui, plusieurs raisons concourent à cet échec. D'abord, les quartiers ou centres de semi-liberté (on en compte 18…

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