Difficile reconnaissance des formations non formelles et informelles (Jeudi de l'Afref)

En introduction au Jeudi de l’Afref [[Association française pour la réflexion et l’échange sur la formation]] du 18 mai [[consacré à «~l’émergence de formations non formelles et informelles en faveur de l’employabilité~: quelles évolutions au regard du droit positif~?~»)]], Patrick Waeles, vice-président de l’association, affirme qu’«~on ne peut pas vivre sans apprendre~». De plus, on n’apprend pas de la même façon en fonction de son environnement, des caractéristiques sociétales et sans reconnaissance. Celle-ci est préalable à la validation, ce qui questionne la prégnance du modèle scolaire (des objectifs, une durée de formation, pour obtenir une validation des acquis, un diplôme)…