La nouvelle classification de la métallurgie doit permettre de mieux coller à la réalité des emplois. Son déploiement est un travail titanesque, signalent des délégués syndicaux de trois entreprises lors d’un webinaire organisé par Miroir social.

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Classification de la métallurgie : premiers retours d'expérience

La nouvelle classification de la métallurgie doit permettre de mieux coller à la réalité des emplois. Son déploiement est un travail titanesque, signalent des délégués syndicaux de trois entreprises lors d'un webinaire organisé par Miroir social. Les premiers retours permettent de constater un glissement vers le haut du positionnement des emplois.

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Par - Le 21 février 2023.

En janvier 2024, les 1,6 million de salariés de la métallurgie seront couverts par une nouvelle classification. Leur emploi, décrit par son contenu réel, sera positionné dans une classification unique (contre quatre auparavant) à 18 niveaux (autant de salaires minimum) et six critères « classant » les différentes facettes d'un emploi (connaissance, autonomie, complexité...). « Pour monter en classification, il faudra monter en compétences, explique Alexandre Crétiaux, délégué syndical CFDT de Framatome, lors d'un webinaire organisé le 3 février par Miroir social. Un soudeur de niveau 2 n'aura qu'à regarder la fiche emploi d'un soudeur de niveau 3 pour savoir quelles compétences supplémentaires…

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