Élodie Salin, consultante stratégies formation (Kime), secrétaire de l’Afref.
Bureaucratie en formation, diagnostics et pistes d'amélioration (UODC)
Comme d'autres domaines, la formation s'est bureaucratisée, constate Elodie Salin, secrétaire de l'Afref, invitée par l'Université ouverte des compétences à exposer ses solutions pour remédier à ce phénomène.
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Par Emmanuel Franck - Le 29 avril 2024.
Hasard de calendrier ? La veille de la présentation en conseil des ministres d'un projet de loi pour simplifier la vie des entreprises, l'Université ouverte des compétences (UODC) organisait, le 23 avril, une conférence intitulée : « Comment diminuer drastiquement la bureaucratie dans la formation professionnelle ? ». Ce qu'un organisme de formation produisait jusqu'à la fin des années 1980 avec une douzaine de formateurs et une seule assistante, il lui faut aujourd'hui, pour un volume égal, « cinq à dix assistantes pour traiter les innombrables procédures de contrôle, enrichies depuis quelques années de procédures dites « de qualité » (Datadock, Qualiopi 1, etc.) », elles-mêmes contrôlées…
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