Livre 1 : Les acteurs de la formation professionnelle
Le premier livre des Fiches pratiques du droit de la formation est consacré à la présentation des conditions d’intervention des acteurs de la formation professionnelle : les organes de gouvernance, les financeurs, les prestataires de formation et les ministères et organismes certificateurs.
La formation professionnelle constitue un élément déterminant de sécurisation des parcours professionnels et de la promotion des individus. A ce titre, elle apparaît à la fois comme un instrument de développement économique, d’émancipation individuelle et de régulation des tensions du marché du travail utilisé par les entreprises, les partenaires sociaux, l’État, les Régions, et l’Union européenne :
– les Régions, l’État et ses opérateurs (France Travail, Caisse des dépôts…), l’Union européenne définissent, mettent en œuvre et financent la politique de formation à l’échelon national, des territoires et de l’Union européenne ;
– les partenaires sociaux sont impliqués dans la gouvernance de la formation professionnelle aux côtés de l’Etat et des Régions ;
– les entreprises du secteur privé et les travailleurs non salariés participent au financement de la formation professionnelle et de l’apprentissage en versant des contributions légales et conventionnelles. Ces contributions sont en partie gérées par les opérateurs de compétences et les FAF. Les entreprises financent également directement des actions de formation en faveur de leurs salariés ;
– les prestataires de formation peuvent proposer une offre sur un ou plusieurs marchés de la formation professionnelle. Pour ce faire, ils doivent connaître la réglementation applicable à chacun de ces marchés ainsi que celle applicable à l’activité de formation ;
– les ministères et organismes certificateurs créent et délivrent les certifications professionnelles. Leur rôle est clairement distinct de celui des prestataires de formations certifiantes qui préparent à leurs certifications enregistrées sur l’un des deux répertoires (RNCP ou RS). France compétences, qui gère ces deux répertoires, exerce un contrôle sur les certificateurs ainsi que sur les partenaires qu’ils habilitent.
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FRANCE COMPÉTENCES (voir CHAPITRE 1)
Instance unique de gouvernance nationale de la formation professionnelle et de l’apprentissageUn établissement public à caractère administratif
► finance et régule le système de la formation professionnelle
► joue également un rôle clé dans la transformation de l’offre de formationLES POUVOIRS PUBLICS (voir CHAPITRE 3) (voir CHAPITRE 4) (voir CHAPITRE 5)
Gouvernance et financementLes Régions, l’État et ses opérateurs (France Travail, Caisse des dépôts…), l’Union européenne
► jouent un rôle dans la gouvernance de la formation professionnelle, dans la définition et la
mise en oeuvre de la politique de formation à l’échelon national, des territoires et de l’Union
européenne ; dans le financement d’actions de formation, prioritairement ciblant les personnes
en recherche d’emploiLES PARTENAIRES SOCIAUX (voir CHAPITRE 2)
Participation dans la gouvernanceLes représentants des syndicats de salariés et des organisations patronales au niveau national
Chapitre 1 : France compétences Chapitre 2 : Intervention des partenaires sociaux Chapitre 3 : Compétences de la Région Chapitre 4 : L'Etat et ses principaux opérateurs Chapitre 5 : Intervention de l'Union européenne
interprofessionnel, des branches professionnelles, de l’entreprise
► participent aux instances de gouvernance (France compétences, France Travail…)
► sont responsables de la gestion des Opco et des associations Transitions Pro
► participent à la création et à la régulation des certifications
► produisent des normes : négociations interprofessionnelles, de branche et d’entreprise -
L’ENTREPRISE DU SECTEUR PRIVE (voir CHAPITRE 6)
Premier financeur de la formation professionnelle
► verse obligatoirement la contribution unique à la formation professionnelle et à l’alternance (Cufpa) et les contributions spécifiques pour les salariés
► verse les contributions conventionnelles et/ou volontaires
► mobilise son budget formation en utilisation directeL’OPÉRATEUR DE COMPÉTENCES (OPCO) (voir CHAPITRE 7)
Gestionnaire des contributions formation
► 11 Opco, chacun regroupant plusieurs secteurs d’activités
► Des missions variées :
– finance les contrats d’apprentissage et de professionnalisation
– accompagne les besoins de formation des entreprises de moins de 50 salariés
– apporte un appui technique aux branches pour l’élaboration des référentiels de certification professionnelle, pour la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (Gpec)
– collecte les contributions conventionnelles et volontaires des entreprisesLE CHEF D’ENTREPRISE, TRAVAILLEUR INDÉPENDANT, NON SALARIE… (voir CHAPITRE 9)
Financeur de sa propre formationDES AIDES PUBLIQUES DE L’ETAT POUR SOUTENIR L’EFFORT DES BRANCHES ET DES ENTREPRISES (voir CHAPITRE 10)
LE COMITE SOCIAL ET ECONOMIQUE (CSE) (voir CHAPITRE 8)
Chapitre 6 : Concours des entreprises au financement de la formation et de l'apprentissage Chapitre 7 : Intervention des opérateurs de compétences Chapitre 8 : Information et consultation du comité social et économique (CSE) Chapitre 9 : Financement de la formation des non-salariés Chapitre 10 : Aides de l'Etat à la formation et à l'emploi dans l'entreprise
Institution représentative du personnel, consultée en matière de formation -
Les prestataires de formation peuvent proposer une offre sur un ou plusieurs marchés de la formation professionnelle.
Chaque marché fonctionne avec des règles spécifiques comme celui du CPF. Le prestataire de formation doit s’y conformer.L’ORGANISME DE FORMATION (voir CHAPITRE 11) (voir CHAPITRE 12) à (voir CHAPITRE 18)
Son activité est réglementée et contrôlée
Il doit connaître les exigences légales et réglementaires pour sécuriser son fonctionnement.
► Se déclarer en tant qu’organisme de formation (voir CHAPITRE 11)
► Demander ou non l’exonération de TVA (voir CHAPITRE 12)
► Respecter les obligations liées à la contractualisation (voir CHAPITRE 15)
► Obtenir la certification qualité pour accéder à certains marchés (voir CHAPITRE 14)
► Choisir le statut de ses formateurs (voir CHAPITRE 16)
► Se conformer à la réglementation pour prévenir un contrôle (voir CHAPITRE 18)LE CENTRE DE FORMATION D’APPRENTIS (voir CHAPITRE 13)
Ses obligations se rapprochent de celles des organismes de formation (obligation de déclaration), des règles spécifiques lui sont applicables, en termes de création et de fonctionnement
► Solliciter un code UAI
► Mentionner dans ses statuts l’activité d’apprentissage
► Tenir une comptabilité analytique
► Mettre en place un conseil de perfectionnement
► Détenir la certification qualité prenant en considération les spécificités de l’apprentissage
► Apposer sur sa façade la devise de la République, le drapeau tricolore et le drapeau européenL’ORGANISME CERTIFICATEUR DE CERTIFICATIONS PROFESSIONNELLES (voir CHAPITRE 17)
Chapitre 11 : Déclaration et fonctionnement d'un prestataire de formation professionnelle Chapitre 12 : Assujettissement à la TVA des organismes de formation Chapitre 13 : Création et fonctionnement d'un CFA Chapitre 14 : Qualité de l'offre de formation Chapitre 15 : Vente d’une prestation portant sur une action de développement des compétences Chapitre 16 : Personnels formateurs des organismes de formation Chapitre 17 : Devenir organisme certificateur de certifications professionnelles reconnues Chapitre 18 : Contrôle des prestataires de formation professionnelle
Un organisme de formation peut devenir certificateur ou être un partenaire d’un ou plusieurs certificateurs.
► Devenir certificateur : détenir au moins une certification en cours de validité enregistrée dans l’un des deux répertoires nationaux RNCP/RS
► Créer et enregistrer une certification : des procédures à respecter, un contrôle exercé par France compétences
► Être partenaire du certificateur : signer une convention avec le ou les certificateurs.
Livre 2 : Les dispositifs de la formation professionnelle
La formation professionnelle tout au long de la vie constitue une obligation nationale. Elle vise à permettre à chaque personne, indépendamment de son statut, d’acquérir et d’actualiser des connaissances et des compétences favorisant son évolution professionnelle, ainsi que de progresser d’au moins un niveau de qualification au cours de sa vie professionnelle. Elle constitue un élément déterminant de sécurisation des parcours professionnels et de la promotion des salariés. (…) Elle comporte une formation initiale, comprenant notamment l’apprentissage, et des formations ultérieures, qui constituent la formation professionnelle continue, destinées aux adultes et aux jeunes déjà engagés dans la vie active ou qui s’y engagent (article L6111-1 du Code du travail).
Le second livre des Fiches pratiques du droit de la formation est consacré à la présentation des différentes modalités d’accès à la formation professionnelle : compte personnel de formation, plan de développement des compétences, contrat d’apprentissage, contrat de professionnalisation, reconversion ou promotion par l’alternance (Pro-A)…
Bien que ces dernières années aient été marquées par l’apparition du compte personnel de formation et du conseil en évolution professionnelle qui représentent des droits individuels à la formation accessibles à toutes les personnes quelle que soit leur situation professionnelle, les modalités d’accès à la formation restent marquées par des différences en fonction de la situation des individus par rapport à l’emploi. Cette construction aboutit à distinguer les mesures destinées aux : salariés, non-salariés, jeunes, demandeurs d’emploi, agents publics et à certains publics.
Cette seconde partie présente ces différentes modalités de départ en formation.
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La formation professionnelle continue donne accès à des actions de développement des compétences et, en amont, à un conseil en évolution professionnelle (CEP).
LE CEP : UN ACCÈS UNIVERSEL ET GRATUIT (voir CHAPITRE 19)
► est un droit à l’accompagnement personnalisé d’une personne dans la formalisation et la mise en oeuvre de ses projets d’évolution professionnelle►est une prestation ouverte à tous, gratuite, mise en oeuvre par des opérateurs identifiés
►vers un renforcement des missions liées au CEP ? (piste envisagée par les partenaires sociaux)
LES ACTIONS DE DÉVELOPPEMENT DES COMPÉTENCES (voir CHAPITRE 20)
► permettent de définir le champ de la formation professionnelle►regroupent quatre types d’actions : de formation, de bilan de compétences, de VAE, d’apprentissage
► contiennent des modalités variées de formation : autoformation, Afest, formation à distance
LA VAE : UN DÉPLOIEMENT PROGRESSIF DE LA REFORME DE FRANCE VAE (voir CHAPITRE 21)
► offre la possibilité d’obtenir une certification professionnelle au vu de l’expérience reconnue à un candidat pour ses activités en rapport avec la certification professionnelle visée► soumise à une période transitoire dans l’attente de publication des textes réglementaires de la loi du 21 décembre 2022
►avec coexistence de « France VAE » et du système existant
Chapitre 19 : Conseil en évolution professionnelle (CEP) Chapitre 20 : Actions de développement des compétences Chapitre 21 : Validation des acquis de l'expérience (VAE) -
Renforcer l’accès à la formation tout au long de la vie et l’autonomie des individus dans mla gestion de leur parcours professionnel.
LE CPA (voir CHAPITRE 22)
► regroupe le CPF, le CPF permet à son titP et le CEC en un seul outil
► assure la portabilité des droits
► permet une gestion autonome du parcours professionnel
► permet l’acquisition de droits à la formation via le CPF
► prend en compte la pénibilité via le C2PLE CPF (voir CHAPITRE 23)
►fixe des modalités de mise en oeuvre adaptées à chaque statut (salariés, demandeurs d’emploi, agents publics,…)
►prévoit des possibilités de conversion des droits d’un compte à l’autre
►comprend des abondements du compte par les différents financeurs (entreprise, France Travail, Régions,…)VERS UN CETU ?
Chapitre 22 : Organisation du compte personnel d'activité et du compte personnel de formation Chapitre 23 : Mise en oeuvre du compte personnel de formation
►un nouveau compte épargne temps universel
►permettrait à chaque salarié d’épargner certains jours de congés ou de repos non pris ou certaines sommes versées par son employeur en vue, par exemple, de se former -
L’employeur a des obligations à respecter en matière de formation. Le départ en formation peut être à son initiative ou à celle de ses salariés ou encore de manière codécidée et coconstruite.
ORGANISER LES ENTRETIENS PROFESSIONNELS (voir CHAPITRE 24)
► tous les deux ans, entretien dédié aux formations nécessaires à l’évolution professionnelle du salarié
► tous les six ans, récapitulatif du parcours d’évolution professionnelle du salarié
► un abondement du CPF en cas de non respect des obligations dans les entreprises d’au moins 50 salariés
RESPECTER SON OBLIGATION DE GESTION DES COMPETENCES (voir CHAPITRE 25)
► répondre à ses obligations en matière de formation professionnelle : financement, adaptation du salarié à l’évolution de son emploi, maintien de sa capacité à occuper un emploi, formations en matière de sécurité
► le plan de développement des compétences, le moyen privilégié d’organiser la formation dans l’entreprise, afin de répondre à ces obligations
ACCORDER OU NON LE DEPART EN CONGES, A L’INITIATIVE DES SALARIES (voir CHAPITRE 26)
COCONSTRUIRE LE PARCOURS DE FORMATION AVEC LE SALARIE
Plusieurs dispositifs mobilisables, notamment :
► le CPF (voir CHAPITRE 23)
► l’abondement de l’entreprise au CPF (voir CHAPITRE 22)
► la pro-A (voir CHAPITRE 27)
► le FNE-formation (voir CHAPITRE 10)
► le contrat de professionnalisation (voir CHAPITRE 31)
Chapitre 24 : Entretien professionnel Chapitre 25 : Plan de développement des compétences Chapitre 26 : Congés spécifiques -
DES ENJEUX FORTS ET DES BESOINS SPECIFIQUES
► des grandes transitions à l’oeuvre : démographique, écologique, numérique
► une interrogation forte sur le sens et les conditions de travail
POUR Y REPONDRE, DES DISPOSITIFS MULTIPLES (structuration au fil du temps)
► coconstruits : la Pro-A (voir CHAPITRE 27) et TransCo (voir CHAPITRE 29)
► choisi, à l’initiative du salarié : le projet de transition professionnelle (PTP) (voir CHAPITRE 28)
► »subis » : le contrat de sécurisation professionnelle (CSP) et le congé de reclassement (voir CHAPITRE 30)
VERS UNE RATIONALISATION ET SIMPLIFICATION DU PAYSAGE DES TRANSITIONS PROFESSIONNELLES ?
Les pistes envisagées
► redéployer les budgets du FNE-formation, de TransCo et de la Pro-A vers un seul dispositif de reconversion : la période de reconversion
► conserver le projet de transition professionnelle et le contrat de professionnalisation en l’état
Chapitre 27 : Pro-A : reconversion ou promotion par alternance Chapitre 28 : Projet de transition professionnelle mobilisant le compte personnel de formation Chapitre 29 : Transitions collectives Chapitre 30 : Contrat de sécurisation professionnelle et autres dispositifs de reclassement -
CONTRAT DE PROFESSIONNALISATION ET CONTRAT D’APPRENTISSAGE : DEUX CONTRATS DISTINCTS (voir CHAPITRE 31) (voir CHAPITRE 32)
► reposent sur le principe de la formation en alternance et sur la conclusion d’un contrat d etravail
► divergent sur l’objectif, le public, les modalités de mise en oeuvre et le financement
PRINCIPAUX AVANTAGES POUR L’ENTREPRISE
► recruter des jeunes talents et tester des profils différents
► adapter ces jeunes aux besoins et méthodes de l’entreprise
► bénéficier d’aides financières
► avoir un oeil neuf, construire de façon collaborative les compétences de ses futurs talents
► participer à l’insertion professionnelle des jeunes et des publics requérant une professionnalisation
POINTS DE VIGILANCE
► choisir entre les deux contrats : bien définir la stratégie de recrutement
► recruter un mineur : bien connaître les règles
► respecter le formalisme
► désigner un tuteur ou maître d’apprentissage et le former
► dégager du temps
► calculer la rémunération de l’apprenti et disposer d’une trésorerie
► se rapprocher de son Opco
► préparer l’entrée en apprentissage : préformation possible dans le cadre d’une préparation opérationnelle à l’emploi (POE)
Chapitre 31 : Contrat de professionnalisation Chapitre 32 : Contrat d'apprentissage -
La formation professionnelle continue est accessible aux personnes engagées dans la vie professionnelle ou qui s’y engagent.
PUBLIC CIBLE DE POLITIQUES PUBLIQUES SPECIFIQUES
► les jeunes en difficultés et/ou qui arrivent sur le marché du travail mais qui ne trouvent pas d’emploi (voir CHAPITRE 33)
► les demandeurs d’emploi (voir CHAPITRE 34)
► les personnes en difficultés sociales et professionnelles (voir CHAPITRE 35)
► les demandeurs d’emploi créateurs ou repreneurs d’entreprise (voir CHAPITRE 35)
DES DISPOSITIFS VARIES EN FONCTION DU STATUT ET DE L’AGE DU BENEFICIAIRE
DES MODALITÉS D’ACCÈS A LA FORMATION ET DE FINANCEMENT PROPRES A CHAQUE DISPOSITIF
UNE REFORME EN COURS (EN ATTENTE DES TEXTES D’APPLICATION)
► l’instauration d’un nouveau parcours usager avec un accompagnement plus personnalisé des personnes en recherche d’emploi
► l’inscription de tous auprès de l’opérateur France Travail
► un cadre commun d’orientation à tous les acteurs du réseau pour l’emploi
Chapitre 33 : Accompagnement des jeunes vers la qualification et l'emploi et réseau d'orientation Chapitre 34 : Accès à la formation des demandeurs d'emploi Chapitre 35 : Contrats et mesures d’insertion, de formation et d’inclusion -
Les employeurs publics [services de l’État (voir CHAPITRE 36) , collectivités locales (voir CHAPITRE 37) , hôpitaux (voir CHAPITRE 38) ] doivent respecter une réglementation différente de celle des employeurs du secteur privé en ce qui concerne le départ en formation de leurs agents.
L’EMPLOYEUR PUBLIC
► verse obligatoirement une contribution formation
► a des obligations à respecter en matière de formation
► peut obtenir une prise en charge financière de l’ANFH (employeur relevant de la fonction publique hospitalière) ou du CNFPT (employeur relevant de la fonction publique territoriale)LE DÉPART EN FORMATION DES AGENTS PUBLICS
► connaît trois modalités principales :
– le plan de formation
– le compte personnel de formation (CPF) (voir CHAPITRE 23)
– le congé de formation professionnelle
► prévoit un accès prioritaire pour certains agents publics
► est régi par des règles propres à chaque fonction publique : Etat, territoriale et hospitalièreL’EMPLOYEUR PUBLIC PEUT RECRUTER DES APPRENTIS (voir CHAPITRE 32)
Chapitre 36 : Formation des agents de l'État Chapitre 37 : Formation des agents territoriaux Chapitre 38 : Formation des agents hospitaliers -
PUBLIC CIBLE DE POLITIQUES PUBLIQUES SPECIFIQUES
► les personnes handicapées
► les personnes étrangères
► les élus locaux
DES DISPOSITIFS ET DES FINANCEMENTS SPECIFIQUES POUR TENIR COMPTE DU HANDICAP
► employeurs de 20 salariés et plus : une obligation d’employer des personnes handicapées dans une proportion de 6 % de l’effectif total
► des aides financières possibles de l’Agefiph (employeurs du secteur privé) et du FIPHFP (employeurs du secteur public)
► des entreprises adaptées pour embaucher les personnes handicapées
L’ACCÈS AUX DISPOSITIFS DE FORMATION DE DROIT COMMUN POUR LES TRAVAILLEURS ÉTRANGERS, EN FONCTION DE LEUR TITRE DE SÉJOUR
► avec des dispositifs particuliers pour les travailleurs étrangers souhaitant s’installer durablement en France ou retourner dans leur pays
L’ACCÈS A DES FORMATION EN LIEN AVEC LEUR MANDANT POUR LES ELUS LOCAUX
► délivrées par des organismes agréés
► financées par la collectivité territoriale et l’élu local
Chapitre 39 : Accès à la formation des personnes handicapées Chapitre 40 : Accès à la formation des personnes étrangères Chapitre 41 : Accès à la formation des élus locaux